Si tu as lu mon roman Le Goût de l’Eau, j’aimerais ça savoir ce que tu en as pensé!
Est-ce que tu as trouvé que c’était une bonne conclusion aux aventures de notre ami Dragon? As-tu un moment préféré dans l’histoire?
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Si tu n’as pas encore lu Le Goût de l’Eau, tu peux commencer par lire les commentaires ci-dessous. Mais n’oublie pas de lire Le Parfum du Vent en premier! (C’est le tome 1.)
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Myriam Plante - artiste et auteure 
tres bon, myriam,,,,je l’ai meme trouvé meilleure que le premier. car on comprends mieux, souvent dans le premier, le dragon voulait savoir ce que les humains se disaient, mais ils lui disait plus tard. alors,,nous non plus on ne savait pas. ca devenait fatiguant de ne pas savoir. tandis que la, il est moins laissé dans le doute, de meilleur echange entre eux.
je me demande juste ou tu es allé chercher un mot si difficile a lire et a dire.. quexilidapelal…ayoye
quel mot compliqué hihihi. tres bon, ton ptit dragon va nous manquer.
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Moi aussi je dirais que j’ai trouvé le Goût encore meilleur que le Parfum. C’est intéressant d’enfin découvrir Elle, dont j’ai trouvé l’attitude et la personnalité très justes, et d’observer (sans toutefois la comprendre complètement) sa relation avec le dragon. Et on découvre aussi de nouveaux aspects de la personnalité du dragon, qui est complexe, mais également simple(?!)
On trouve des liens intéressants avec le concept de transfert, qui crée un peu de mystère et constitue un élément très intéressant de l’histoire. J’ai particulièrement aimé le dénouement plein d’action ainsi que la fin (les au revoir m’ont un peu émue… et m’ont fait réaliser à quel point j’aimais le personnage de Regor!).
En bref, j’ai été divertie et j’ai beaucoup apprécié ma lecture!
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Je suis aussi d’accord moi aussi pour dire que Le Goût de l’eau était encore meilleur que le Parfum du vent. Est-ce à cause du gain en expérience depuis le tout premier roman? ESt-ce parce que le dialogue est plus facile et donc, les évênements plus simples a comprendre à cause de sa communication avec Elle? Ou les deux? Enfin, peu importe.
J’ai beaucoup aimé le personnage d’Elle, qui était un personnage central du premier livre, mais dont nous n’avions jamais vraiment fait connaissance. L’évolution des personnages était aussi très agréable à suivre, ainsi que l’évolution des relations entre eux. Les revirements de situations étaient délectables.
Bref, j’ai été surprise, intriguée, j’ai ris et j’ai pleuré (Je ne voulais pas que Regor, ce grognon, irritable et parfois égoïste s’en aille, même si je ne vois pas ce qu’il aurait pu faire d’autre. Je me suis beaucoup attachée au Dragon, à Elle, à Regor, à Kielys et à Cera et j’aurais aimé pouvoir passer plus de temps encore en leur compagnie!
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Vous pouvez lire le super commentaire de Martine Lévesque sur le blogue des Mille et une pages de L&M:
http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2018/04/le-parfum-du-vent-et-le-gout-de-l-eau-myriam-plante-auto-edition-par-martine-levesque.html
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Le roman « Le goût de l’eau » reprend le récit là où « Le parfum du vent s’est arrêté ». Après leur victoire au Rhennon, Dragon et Regor se mettent (avec Elle) à la recherche de Cera et de Kielys, le jeune garçon sauvé des eaux qui pourrait avoir le pouvoir de sauver le continent de la sécheresse. Mais encore une fois, la quête n’est pas de tout repos… Entre les défis imposés par la famine, les tempêtes, et les difficultés de retrouver deux humains minuscules dans un monde bien vaste, les héros n’ont pas de répit.
La conclusion de cette duologie est à la hauteur des attentes imposées par la première partie. La plume de Myriam, unique en son genre, garde le lecteur en haleine et traduit avec finesse tant les émotions ressenties par les personnages que l’action qui tient le lecteur en haleine. Mention spéciale au personnage de Fougère, qui m’a fait bien rire (et réfléchir). Sacré Fougère! Et sacrée Myriam, pour l’avoir imaginé!
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