C’est comme une fête non-officielle, qui dans le fond sert juste à dire ou faire quelques niaiseries pour faire rire ou sourire les gens.
Ou en tout cas, c’est comme ça que moi, je vois ça. Je serais très heureuse que quelqu’un me colle un poisson en papier dans le dos (je m’en suis même déjà collé un moi-même!) mais comme je passe souvent le poisson d’avril seule chez moi, j’aime bien les blagues qui se font sur internet.
Du genre, une compagnie annonce sur Facebook qu’elle offre des nouveaux smoothies à saveur de cornichons, la plupart des gens rient, il y a quelques personnes perdues qui sont fâchées et trouvent ça dégueulasse… et au moins deux ou trois personnes qui disent hé, mais j’aimerais ça pour vrai, moi!
Chaque année, j’essaie de faire une petite blague, soit sur mes réseaux sociaux ou dans le C.L.L.E.M.P., juste parce que ça m’amuse.
La première fausse version de la couverture.
Le premier avril 2024, je m’étais surpassée! J’avais prétendu avoir écrit un livre appelé Romance à Victoriaville. J’avais écrit un résumé, créé une page couverture, et préparé une page de précommande sur mon site internet.
C’était drôle pour moi, et pour quelques personnes qui me connaissent bien, parce que j’ai souvent dit que je ne me verrais pas écrire une romance. Ce n’est pas un genre littéraire qui m’attire particulièrement.
Donc, le bouton de précommande ne menait nulle part, le livre n’existait pas. Mais il y a quelques personnes qui ont dit hé, mais j’aimerais ça lire ça, moi!
Et moi, je me suis laissée prendre à ma propre blague, parce qu’un peu après le poisson d’avril, j’ai commencé à me demander de quoi ça aurait l’air, si j’écrivais Romance à Victoriaville pour vrai.
J’ai décidé que ce serait ça, ma blague pour 2025: j’ai repris le même résumé, j’ai créé une page couverture plus détaillée et plus jolie, et j’ai écrit le livre pour vrai.
Quand je l’ai annoncé sur internet, il y a des gens qui n’étaient pas sûrs… Et d’autres qui ont assumé que c’était une blague du poisson d’avril, et qui ne se sont pas donnés la peine de cliquer sur le lien.
Il y a même quelques personnes qui ont dit Myriam, pourquoi tu nous fais la même joke que l’année passée?
La vraie version de la couverture.
Hum, non, ce n’est pas exactement la même joke. En 2024, la joke c’était que le livre n’existait pas. Cette année, la joke, c’est que le livre existe!
Romance à Victoriaville, c’est une romance qui n’est peut-être pas tout à fait romantique. C’est un peu une parodie de romance, avec ma touche personnelle. C’est une histoire qui rend hommage à ma ville, et à certains endroits que j’aime visiter, comme le réservoir Beaudet, le Mont Arthabaska, et la Fromagerie Victoria.
Par-dessus tout, Romance à Victoriaville, c’est la preuve de mon dévouement au poisson d’avril. J’avoue que par moments, ça ne me tentait pas pantoute d’écrire des scènes « cutes » entre Dan et Érica qui mangent ensemble au restaurant. J’ai essayé de rendre ça amusant et intéressant, mais je trouvais ça plate à écrire. Ce n’est pas mon style du tout!
Mais je l’ai fait quand même, pour la gloire du poisson d’avril! 🐟👑
Pour que des gens sourient, et disent «Tu l’as déjà fait cette joke-là, je m’en souviens!» ou encore «Ben oui, Myriam qui écrit de la romance, c’est clairement un poisson d’avril.»
Oui, c’en est un. Mais il est plus complexe qu’il en a l’air…
Eh oui, je peux encore le dire même si on est maintenant le 17 janvier, parce que c’est la toute première fois que j’écris quelque chose dans mon blogue en 2024.
Cette nouvelle année promet d’être assez chargée pour moi. J’ai déjà quatre évènements de prévus, et je veux absolument réussir à enfin publier mon fameux roman dont vous êtes le héros, Sechora…
En plus, il y a de très fortes chances pour que je finisse d’écrire le premier tome de l’histoire d’Henry cette année!
J’aime ça, avoir plein de projets sur ma liste. Mais c’est certain que souvent, je manque de temps pour faire tout ce que j’aimerais faire.
Quand même, 2024 commence en force avec la publication d’un premier livre!
La cantine…
La cantine, c’est un recueil de nouvelles horrifiques que j’ai écrit en collaboration avec quatre auteures dynamiques qui sont devenues des amies et des alliées précieuses pour moi, en 2023.
Il y a maintenant des gens qui nous connaissent en tant que «la gang des auteures inconnues», ce qui est légèrement paradoxal, quand on y pense!
Donc, notre beau recueil, La cantine, va être disponible sur Amazon dès le 24 janvier. Mais vous pouvez dès maintenant précommander votre copie grâce à ce formulaire de précommande.
Mais attention, ce recueil n’est pas pour tout le monde! Nos histoires ont toutes un côté sombre: horreur, sang, folie, violence, sexe, et nourriture peu appétissante sont au rendez-vous, entre autres choses. C’est donc pour un public averti.
Mais… pourquoi est-ce que nous avons écrit des histoires d’horreur sur un thème comme celui-là, vous demandez-vous peut-être? 🤔
Après tout, les cantines, c’est sympathique… On peut y manger de la poutine, des frites, des hot dogs, et plein d’autres mets délicieux et pas chers.
Laissez-moi vous raconter l’histoire derrière le recueil La cantine… Je vous la raconte ici à ma manière, parce que je me suis rendue compte que nous, les cinq auteures, n’avions pas toutes exactement la même version de l’histoire en mémoire. Je trouve ça assez fascinant, même si ça veut dire que nous n’avons probablement pas toutes raison!
(L’important, c’est le résultat de tout ça… et le résultat, c’est un recueil de nouvelles dont nous sommes fières!)
Donc, voici l’histoire telle que je me la rappelle…
Le 1er avril 2023, je me suis rendue dans le charmant village de Saint-Isidore pour y participer à un salon du livre. J’y suis allée avec Josée et Nicole, et en chemin, nous avons remarqué, sur le bord de la route, une petite bâtisse qui semblait vaguement être abandonnée, et sur laquelle c’était écrit «Cantine», et «Salle à manger complète»…
Nous avons évidemment trouvé ça très drôle, puisque ça n’avait pas du tout l’air d’une cantine, et encore moins d’une cantine avec une salle à manger. Nous avons donc poursuivi notre chemin, et le salon du livre à été un beau succès! (J’ai d’ailleurs passé la journée avec un poisson en papier collé dans le dos… Je me l’étais collé là moi-même, c’est ça la joke, tsé. C’est ma tradition du Poisson d’avril!)
Au moment de retourner à Victoriaville, Mélissa, que nous avions déjà rencontrée à un autre évènement, nous a demandé si elle pouvait monter avec nous. Nous avons bien sûr accepté, et nous lui avons parlé de la fameuse cantine.
Nous avons eu beaucoup de fun sur le chemin du retour de St-Isidore, comme en témoigne cette photo!
C’est surtout là que les souvenirs diffèrent. Certaines disent que nous avons revu la cantine sur le chemin du retour. Moi, je ne me souviens pas de l’avoir revue. Je me souviens, par contre, que nous en avons beaucoup parlé, et nous avons élaboré plusieurs théories farfelues sur le possible emplacement de la salle à manger, et sur ce qui pouvait bien s’y passer.
Quatre auteures ensemble dans une auto, ça part facilement dans toutes les directions! On n’a pas le choix d’avoir beaucoup d’imagination pour écrire des livres, après tout.
Nous sommes retournées à Saint-Isidore le 26 août, mais cette fois-ci, c’est Marilyne qui a fait la route avec Nicole, Josée et moi. Nous avons bien sûr encore parlé de la mythique cantine, et nous avions l’intention de la prendre en photo… mais nous ne l’avons jamais revue.
Entretemps, Mélissa nous avait proposé d’écrire un recueil de nouvelles sur le thème de la cantine louche, et nous avons joyeusement embarqué dans ce projet. C’est à cause de cette histoire qu’il se passe des choses louches et inquiétantes dans les cantines de nos nouvelles… Parce que oui, dans chaque nouvelle, on retrouve une cantine différente.
Les deux histoires que j’ai écrites s’appellent Le grand projet du père de Sophie, et Une bonne poutine.
Je vous en offre ici, en exclusivité, de petits résumés:
Le grand projet du père Sophie: Sophie va passer l’été avec son père dans le village d’enfance de celui-ci. Il veut écrire un livre auquel il pense depuis longtemps, et elle, elle essaie d’oublier son petit ami qui l’a trahie. La maison qu’ils ont louée pour l’été se trouve juste à côté d’une cantine abandonnée. Et en fait, Sophie découvrira que le village entier semble presque abandonné, et qu’il s’y passe des choses étranges à la tombée de la nuit…
Une bonne poutine: Louis a reçu la mission d’aller chercher une commande dans une cantine douteuse située très loin de l’appartement qu’il partage avec Clara. Manger un bon repas en regardant un film une fois par semaine amène du positif dans leur couple, selon Clara. Mais est-ce vraiment le cas? Et surtout… quelle est cette chose à texture bizarre que Louis trouvera dans sa poutine?
La cantine, c’est un projet amusant… mais c’est du sérieux!
Mon roman La quête de Marianne a été lancé le 7 janvier 2022. Ça a été un lancement très simple : pas de trompettes, pas de discours devant une foule en délire, pas de buffet gratuit, pas de feux d’artifice. Le genre de lancement qui passe facilement inaperçu.
Des gens l’ont commandé quand il est sorti, et un peu par après… Mais maintenant, c’est pas mal fini. Disons que mon bébé n’a pas eu le succès auquel, en toute naïveté, je m’attendais. (Quand on est auteur, on s’imagine toujours que notre nouveau livre va révolutionner le monde, ou quelque chose comme ça… Mais ça n’arrive pas.🤷♀️)
J’ai reçu quelques commentaires. Positifs, oui, et ça fait du bien! Mais seulement quelques-uns. Peut-être que les autres gens qui l’ont acheté ne l’ont pas encore lu, ou qu’à la fin de leur lecture ils l’ont refermé et se sont dit «Ah, ben coudonc.» Fin de l’histoire.
Pourtant, je sais qu’il est bon, mon livre. Il y a des gens qui l’ont vraiment aimé! Et moi, je l’aime. C’est le roman dont je suis le plus fière jusqu’à maintenant. Alors pourquoi est-ce qu’il ne se vend pas? Pourquoi est-ce qu’il ne suscite plus l’intérêt de personne?
Je pense que c’est à cause de moi. À cause de qui je suis. Je ne suis pas le genre de personne qui entre dans une pièce et réclame aussitôt l’attention de tous. Je ne suis pas du genre à crier. «Regardez-moi! Écoutez-moi!»
📢«Lisez-moi!!»
Non. Je suis introvertie, et que ce soit en personne ou sur internet, je n’aime pas avoir l’impression de harceler les gens avec des choses qui ne les intéressent pas. Et donc, évidemment, je ne suis pas douée pour vendre mes livres. Même quand je suis dans un évènement littéraire, et que les gens qui passent devant ma table ont quand même une chance raisonnable d’être là parce qu’ils aiment lire, et qu’ils ont envie de découvrir des nouveaux auteurs et des nouveaux livres.
Si je ne détecte pas sur le visage ou dans l’attitude des gens qu’ils ont envie d’en apprendre plus sur mes œuvres, je ne suis tout simplement pas capable d’être intéressante. Et il faut que je me sente à l’aise avant de commencer à faire la conversation à quelqu’un. Alors, je reste figée, avec un petit sourire poche, et je me dis bon, tant pis. Ça ne sert à rien de commencer à leur parler de mes livres, parce qu’ils ne sont pas intéressés. C’est du gaspillage d’énergie. C’est une perte de temps, pour moi comme pour eux.
Alors les gens s’en vont, et je ne vends aucun livre. C’est arrivé souvent. Pourtant, il y a toujours des auteurs, dans les mêmes évènements, qui en vendent plein, des livres. Il y en a qui sont sociables, sympathiques, charismatiques, et intéressants, de manière tout à fait naturelle.
Passer des heures seule dans mon coin à réfléchir, à écrire, à réviser, à vraiment créer un livre, pour moi, c’est fascinant. C’est ce que j’aime faire. Mais une fois qu’un nouveau livre est né, il faudrait subitement que j’aie la personnalité de quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne reste pas seul dans son coin, et qui arrive facilement à donner envie aux gens de découvrir ses œuvres.
Mais les lecteurs potentiels qui passent devant ma table pendant les salons du livre ne me connaissent pas, et j’ai l’impression que ce qu’ils voient et entendent ne leur donne pas envie de me connaître, et donc, aucune envie de me lire. C’est comme ça.
J’aime écrire. J’aime développer des personnages et créer des histoires. Je le ferais même si je savais que jamais personne ne les lirait. J’écris avant tout pour moi-même, parce que j’en ai envie et que j’en ai besoin. Mais j’aimerais bien, quand même, que des gens me lisent, et qu’ils aiment ça. Et qu’ils m’écrivent au moins un petit commentaire pour me le dire, si possible.
Comme je l’ai dit, ce n’est pas mon genre de crier pour attirer l’attention. J’aime mieux quand quelqu’un s’approche de moi, regarde un de mes livres, se montre intéressé, et me pose des questions.
C’est quel genre de livre? De quoi ça parle? C’est quoi l’histoire?
Alors c’est ce que j’ai envie de faire maintenant. Faire comme si je parlais de mon livre, qui a déjà un an, à quelqu’un qui est intéressé.
Bien sûr, écrire un texte ne garantit pas qu’il va être lu. Un texte publié sur internet, c’est facile à ignorer. Surtout un texte très long! Mais je crois vraiment qu’écrire, c’est ce que je sais faire de mieux. Alors je me lance.
Bonjour, je m’appelle Myriam, et le livre auquel je fais un câlin sur cette photo, c’est La quête de Marianne. C’est vraiment le roman dont je suis la plus fière! 🥰 Je l’ai préparé dans ma tête pendant des années, avant de l’écrire.
Oui, pour vrai! Avant de commencer à l’écrire, j’avais déjà travaillé dessus pendant plusieurs années! Et enfin commencer à l’écrire, ça a été un moment vraiment spécial pour moi.
Ah, et aussi, ce livre-là, il fait un peu partie d’un casse-tête. Oui oui! J’ai 6 petits livres qui ont été écrits et publiés avant La quête de Marianne, et qui permettent de découvrir des personnages… j’appelle ça ma Mini Collection.
Il y a aussi une série de livres que je suis en train d’écrire… L’histoire de ces livres-là va se passer avant La quête de Marianne, et après mes minis livres. Et je pense que ça va être vraiment important d’avoir lu La quête de Marianne avant de lire la future série… faire l’inverse, et lire l’histoire de Marianne après la série, ça ne serait pas aussi intéressant… ça gâcherait plusieurs punchs, mettons! C’est mieux de lire Marianne, d’être surpris, de se poser des questions, et après ça de trouver des réponses et des explications dans la série.
Ok, mais là je m’égare… Quel genre de roman c’est, La quête de Marianne? Je ne sais pas, et c’est toujours une question qui me rend mal à l’aise parce que je ne suis pas certaine de ce que je devrais répondre… C’est un peu un roman fantastique. Un peu un roman d’aventures. C’est un peu un livre de développement personnel…? Non, pas vraiment.
Il y a un peu d’action. Des moments plus axés sur la réflexion. Un genre de début d’histoire d’amour qui ne mènera absolument nulle part. Des personnages qui font pitié, et qui sont attachants. Des monstres qui ne sont pas vraiment dangereux. Une quête du bonheur et un cheminement personnel qui, au fond, sont plus importants que l’action.
Il y a l’immensité de l’océan. Des tempêtes. Une île avec des beaux palmiers. Des coups de feu et de canon. Des épées. Du sang. Des larmes. Des mystères. Des situations inexplicables…
Ce n’est pas un livre pour les jeunes enfants, même si certains des personnages principaux sont des jeunes enfants. Quel âge devraient avoir les lecteurs, donc, au minimum? Je ne sais pas. Peut-être que ça dépend des lecteurs.
Et de quoi ça parle, au juste?
Ça raconte l’histoire de Marianne, une jeune femme qui vit dans un village minuscule, sur le bord de la mer. Elle s’occupe de Marguerite, sa petite sœur qui est capable de parler, mais qui ne parle pas. Elle s’occupe aussi un peu de Jimmy, le meilleur ami de Marguerite. Son seul ami, en fait.
Un matin, un vieux navire qui semble sorti d’une autre époque s’échoue au pied de la falaise du village. Le soir, pendant que Marianne se promène sur la plage, elle se fait enlever par deux personnages étranges qui l’emmènent sur le voilier. Le lendemain matin, le voilier n’est plus là.
En comprenant que sa sœur a été enlevée, Marguerite entraîne Jimmy et son grand-père avec elle, et ils partent dans une chaloupe. Et ils réussissent à retrouver Marianne, mais pas à la ramener à leur village…
Ils traversent donc la mer en compagnie de marins qui, comme leur navire, semblent sortir d’une autre époque. Les choses ne se passent pas tout à fait bien, mais elles pourraient être pires!
Au début du voyage, le capitaine ne veut pas voir Marianne, et il interdit à ses hommes de lui expliquer ce qui se passe! La quête de Marianne, c’est donc d’essayer de comprendre qui sont ces hommes-là, pourquoi ils l’ont enlevée, et ce qu’ils ont l’intention de faire d’elle… Mais sa quête, c’est aussi de trouver en elle le courage de se poser quelques questions qu’elle n’a jamais osé se poser, et qui pourraient améliorer sa vie et celle de Marguerite.
Si je pouvais dire tout ça à chaque personne qui s’approche de ma table pendant un évènement littéraire, en étant dynamique et passionnée, je pense que ça serait merveilleux!
Pourquoi le deuxième exemplaire est plus petit que le premier? Cette version-là est en vente sur Amazon… et hélas pour moi, sa mise en page intérieure est bien meilleure que celle de l’autre version, dont j’avais commandé une centaine d’exemplaires. Donc, à mon avis, le livre est plus beau si vous le commandez sur Amazon.
La quête de Marianne est disponible en format imprimé et en format numérique. Il y a tous les liens utiles sur mon site internet.
Regor est de retour pour une toute nouvelle aventure!
Mais… qui est Regor? Ceux et celles qui ont lu mes deux romans de dragon le savent. Regor est un des principaux personnages de Le Parfum du Vent et Le Goût de l’Eau, et il est impossible de l’oublier.
Il est donc de retour dans un mignon petit livre jaune qui porte son nom: le 7e livre de ma Mini Collection!
Regor se repose sur un lit de fougères… Aah! Souvenir de l’époque révolue où il y avait de la végétation sur le sol, et pas juste de la neige.
Voici le résumé de mon nouveau bébé:
« Regor est un magicien qui se destinait à devenir roi. Mais sa rencontre avec un dragon a tout changé, et après de nombreuses aventures en compagnie de cette impressionnante créature et de son amie humaine, il s’est retrouvé loin de chez lui.
Seul parmi des gens dont il ne partage pas les buts et les idéaux, et devenu étranger à lui-même, il entreprendra un voyage qui l’aidera à découvrir ce qu’il désire réellement faire de sa vie. »
Regor est perché dans un arbre? Il me semble pourtant qu’il ne fait pas ça dans l’histoire… Mais peut-être qu’un autre personnage le fait.
Pour l’instant, je n’ai qu’un seul exemplaire de Regor chez moi. C’est mon bébé, mon Précieux, et la star d’une petite séance de photos que j’ai effectuée, avec un timing impeccable, le jour juste avant l’arrivée de la neige!
Je vais bientôt passer une plus grosse commande pour avoir plein de petits Regor chez moi… Mais avant, j’ai besoin de savoir combien je dois en commander. Parce que je sais que ce n’est pas une bonne idée d’en commander une centaine: ils ne se vendront pas.
Mais alors… combien?
C’est le temps pour les gens intéressés de précommander leur exemplaire!
Pour obtenir Regor, vous avez trois options:
➡️ Si vous faites partie de ma famille, ou qu’on pourrait se voir bientôt, écrivez-moi un courriel au myriam.plante@yahoo.ca pour réserver votre exemplaire! Vous pourrez me le payer quand je vous le remettrai en mains propres, probablement dans le temps des Fêtes.
Avantages: Pas de frais de livraison, une dédicace et un service personnalisé!
Désavantage: Je ne sais pas quand je vais recevoir ma commande de livres.
Avantages: Livre dédicacé, pas besoin de se déplacer à part pour atteindre votre boîte à lettres.
Désavantages: Des frais (peu élevés) de livraison, des délais possibles dépendant de Postes Canada.
➡️ Vous pouvez aussi le commander sur Lulu, pour probablement le recevoir avant les gens qui précommanderont auprès de moi.
Avantages: Obtention sans doute plus rapide du livre, livraison n’importe où dans le monde.
Désavantages: Livre plus cher, et non dédicacé.
Ah oui, et si vous aimeriez acheter Regor, Le Parfum du Vent, et Le Goût de l’Eau, pour lire ou pour offrir, je crois que l’option la plus économique, au niveau des frais de livraison, serait de passer par ma boutique Square.
Merci de votre intérêt envers mon nouveau petit livre! C’est toujours un grand bonheur pour moi d’imaginer mes bébés dans vos mains pendant que vous passez un beau moment de lecture. 😊
Regor attire déjà les foules! Hum… les fait fuir, plutôt! Pendant que je prenais des photos de mon livre dans la nature, près du lac où se prélassent les oies blanches, un groupe d’oiseaux non identifiés, qui ne sont pas des oies blanches, s’est subitement enfui bruyamment! Je ne pense pas leur avoir fait peur, ce sont plutôt eux qui m’ont fait sursauter…
J’espère que 2022 commence bien pour vous. Moi, j’ai survécu à la covid! C’est mon plus grand accomplissement de l’année, jusqu’à maintenant.
Après avoir travaillé fort en 2021, j’avais prévu de passer le temps des Fêtes à relaxer et à me ressourcer, pour ensuite être en pleine forme pour lancer La quête de Marianne.
Mais j’ai reçu la covid en cadeau pour Noël, alors les choses ne se sont pas passées comme prévu. Oh, j’ai relaxé, bien sûr. Je n’ai pas eu le choix : c’est un peu dur de faire quoi que ce soit quand on a mal à la tête, qu’on a le nez bouché, qu’on tousse comme un vieux fumeur fatigué, et qu’on se sent misérable.
J’ai relaxé, mais je ne me suis pas vraiment ressourcée, et je n’ai pas vraiment apprécié ce petit intervalle entre Noël et le Jour de l’an. Pas autant que j’aurais voulu. Il va falloir que je me reprenne la prochaine fois.
Mais c’est aujourd’hui le 7 janvier, le jour que j’avais choisi pour lancer mon roman. Alors je le lance!
Cette image est un montage : aucun roman n’a été maltraité pendant la séance de photos.
C’est maintenant possible d’acheter La quête de Marianne sur Amazon, et sur Lulu. Bientôt, ça va être aussi possible de commander un exemplaire dédicacé directement sur mon site internet, mais je préfère attendre encore un peu… juste pour être sûre à 1000% que je ne suis plus contagieuse, et que je n’enverrai pas de petits virus par la poste! 😛
Pour conclure ce lancement de livre grandiose et atypique, je demanderais bien humblement à ceux et celles qui avaient précommandé mon roman de laisser leurs commentaires dans mon blogue, en cliquant sur ce lien, à la fin de leur lecture. Merciiiiii!
Longue vie à Marianne! Et merci à mes lecteurs et lectrices d’être fidèles au rendez-vous!
En précommandant, vous pouvez choisir de recevoir des articles qui ne seront pas disponibles ailleurs. Comme un casse-tête, par exemple, ou un sac… Vous pouvez choisir entre 3 options de précommande sur mon site, et j’aime penser qu’il y en a pour tous les goûts et tous les budgets!
Mon livre n’est pas encore tout à fait prêt à être publié, mais j’y travaille, et je sais que ça avance très bien. J’ai hâte de pouvoir vous donner une date de publication officielle… mais pour l’instant, je dis «bientôt».
Oui, le livre s’en vient… bientôt. Mais son voyage de création n’est pas encore terminé…
Quels sont les avantages de précommander maintenant?
Il y a les cadeaux exclusifs, bien sûr. Mais le fait de précommander maintenant va aussi vous permettre de voir vos noms imprimés sur la page des remerciements, au début du livre. C’est cool, voir son nom dans un livre, non? Et comme je fais des dédicaces sur les précommandes, vos noms vont être là deux fois!
En précommandant, vous aidez une auteure indépendante, c’est-à-dire, moi, à payer les frais d’impression de son livre. Vous m’aidez aussi à faire connaître mon livre à un plus grand nombre de personnes, et aussi simplement à constater qu’il y a des gens qui ont vraiment hâte de lire l’histoire de Marianne.
Et ça, c’est merveilleux, et ça fait tellement du bien! 😊 Je travaille sur cette histoire depuis le début de 2019, et depuis ce temps-là, elle m’appartient. Mais mon but, c’est de la partager avec le plus grand nombre de gens possible…
Donc, si vous voulez me montrer votre soutien et votre intérêt, tout en vous gâtant un peu, vous pouvez précommander maintenant!
Mais si vous découvrez mon blogue pour la première fois, vous pouvez tout d’abord en apprendre un peu plus sur La quête de Marianne sur mon site…
Aujourd’hui, plusieurs mois plus tard, je vous offre mon nouveau livre, un petit guide intitulé Comment écrire un livre selon Myriam Plante.
L’idée derrière ce guide, c’était de donner quelques conseils à ceux et celles qui s’ennuyaient en confinement, ou qui s’étaient dit que le moment était idéal pour réaliser leur rêve de commencer à écrire un livre.
Bon, même si l’apocalypse est toujours en cours, la vie est maintenant plus normale qu’elle ne l’était au mois de Mars… Ça m’a peut-être pris juuuste un petit peu trop de temps écrire et finaliser mon guide!
Mais maintenant, il est prêt!
Voici la page couverture de mon nouveau livre!
Si vous avez envie d’essayer d’écrire un livre. Si vous rêvez depuis toujours d’écrire un roman. Si vous vous demandez simplement de quelle manière ça se planifie, l’écriture d’une histoire. Ou si vous voulez voir de quoi ça a l’air, quand je fais semblant d’être une personne bien organisée…
Ce livre pourrait vous inspirer, et même changer votre vie!
Ou, en tout cas, pour un investissement d’environ 2$, je pense que vous pourriez y trouver quelques conseils utiles et quelques idées intéressantes, en plus d’une nouvelle histoire exclusive qui met en scène un personnage appelé Roger.
Pour l’instant, il n’est disponible qu’en format Kindle sur Amazon. Au mois de Décembre, il sera disponible, toujours en format numérique, sur d’autres plateformes.
Pourquoi un tel écart? Simplement parce que j’ai inscrit mon livre au programme KDP Select d’Amazon, pour voir si ça vaut la peine ou non. Et à cause de ce programme, mon livre ne doit pas être disponible sur un autre site pendant une période de 3 mois.
Je le lance donc aujourd’hui, et il aura droit à un autre petit lancement quelque part au mois de Décembre. Mais ne pensons pas à ça, parce que c’est déprimant.
Pour l’instant, c’est l’automne qui s’en vient, et c’est ma saison préférée!
C’est ce mois-ci que je vous présente le 6e livre de ma Mini Collection! Ça a été une belle aventure, cette année, de publier ces petits livres tout en commençant à écrire la grande histoire qui va rassembler tous les personnages qui font partie de ces petites histoires…
Sans plus tarder, voici un petit extrait de l’histoire «Jimmy et Marguerite»:
« Jimmy et Marguerite ne se rencontrèrent pas tout de suite après l’arrivée au village du jeune garçon. Le troisième soir après son arrivée, il demanda à son grand-père la permission d’aller passer quelques heures sur la plage pour observer le ciel.
Jimmy était fasciné par les étoiles, et rêvait de devenir astronaute lorsqu’il serait plus grand. En découvrant la passion de son petit-fils pour l’espace, Elphéas lui avait offert une boîte qu’il gardait dans son grenier, qui contenait plusieurs albums de bande dessinée mettant en vedette son héros d’enfance : Julius, explorateur intergalactique. Les albums sentaient le papier humide et la poussière, et les images couchées sur leurs pages jaunies et légèrement craquantes présentaient des couleurs fades et sans vie, mais pour Jimmy, chacun de ces vieux livres était un véritable trésor.
Il plongea avec joie dans la lecture des aventures de Julius, aventures dans lesquelles se côtoyaient des extraterrestres armés de plusieurs bras, des météorites aux pouvoirs mystérieux, des explosions spectaculaires, des vaisseaux et des fusées dotés de technologies incroyables qui n’avaient sans doute pas encore été inventées à ce jour, et des trous noirs intrigants qui étaient en fait des passages menant vers d’autres mondes fabuleux.
Julius était un héros parfait, courageux et intrépide, et en suivant ses aventures, Jimmy se sentait plus près que jamais de son grand-père qu’il aimait tant. Grand-père Elphéas avait déjà été jeune, lui aussi. Il avait plus d’une fois tourné les pages de ces albums de bande dessinée avec ses mains d’enfant, en rêvant qu’il partait à la conquête de galaxies éloignées à bord de sa propre fusée.
Julius semblait vouloir confirmer à Jimmy que son destin était de devenir astronaute. Oh, le jeune garçon savait bien que les vrais astronautes ne combattaient pas d’extraterrestres hostiles avec des pistolets laser. Mais il était encore un enfant, et il pouvait se permettre de rêver, de jouer, et d’imaginer et de croire que son futur serait la plus grandiose des aventures.
Ce soir-là, donc, il avait décidé de se rendre sur la plage pour observer les étoiles. Il n’avait pas de télescope, bien qu’il aurait aimé en avoir un, mais il avait remarqué que Port-d’Attaches devenait bien sombre après le coucher du soleil, et il savait que cette noirceur mettrait en valeur les points lumineux qui le fascinaient tant. Il salua son grand-père, qui songea un instant à l’accompagner, mais qui préféra finalement se reposer et terminer sa lecture en cours, et il sortit de la maison.
Il avait apporté une petite lampe de poche et il marchait en la braquant devant lui pour défier la nuit, avec l’assurance de Julius brandissant son pistolet laser devant un ennemi malveillant. Lorsqu’il atteignit la plage, le premier point lumineux qui attira son attention n’était pas une étoile. »
Vous pouvez commander votre copie du livre à partir de mon site internet, ou vous pouvez venir me rencontrer à ma séance de signature à la Librairie serpent d’ébène le 14 Décembre prochain si vous êtes à Victoriaville!
Le deuxième livre de ma Mini Collection, «Henry», est disponible dès aujourd’hui!
Le livre met en vedette un jeune homme appelé Henry de Courval, qui va se mettre à rêver de devenir capitaine d’un navire pendant son premier voyage en mer.
Henry va être un personnage assez important dans le nouveau livre que j’ai commencé à écrire à la fin du mois de Janvier. C’est le concept: tous les personnages des 6 premiers livres de ma Mini Collection vont se retrouver dans cette fameuse histoire…
Voici donc, pour vos yeux curieux, un petit extrait du livre Henry:
« Il resta assis pendant que les marins appareillaient pour quitter le port de La Royave. Il resta assis pendant un très long moment. Puis, il se leva, et quitta sa cabine.
Il monta sur le pont. Le ciel était gris, et la mer était plutôt calme, animée par des vents qui leur étaient sans doute favorables. L’île de La Royave était déjà loin derrière eux. Henry inspira longuement l’air salin qui s’offrait à lui, puis s’approcha du second du capitaine qui marchait lentement sur le pont, les mains jointes derrière son dos, et qui supervisait le travail de l’équipage.
– Monsieur Bernat? lui dit Henry pour attirer son attention.
Le second se tourna vers lui avec un sourire mince, mais honnête.
– Que puis-je faire pour vous, Monsieur de Courval?
Henry pinça les lèvres, puis se lança :
– Je me demandais, en fait, si moi, je pouvais faire quelque chose pour vous, Monsieur Bernat.
Le second du capitaine fronça légèrement les sourcils.
– Je vous demande pardon?
– Je suis le seul passager à bord, expliqua Henry, et j’ai l’impression… Enfin, j’aimerais bien, si vous le permettez, faire quelque chose pour me rendre utile.
Monsieur Bernat le considéra d’un air un peu incrédule.
– Nous pourrons bien vous trouver quelques tâches qui ne nécessitent aucune expérience, dit-il enfin. C’est bien ce que vous voulez?
– Oui, Monsieur, approuva Henry en hochant la tête. J’aimerais me rendre utile.
Son interlocuteur sembla étonné et déconcerté par sa demande, mais il faisait des efforts pour ne pas le laisser paraître, et Henry lui en était reconnaissant.
– Laissez-moi en parler avec le capitaine, dit-il avant de s’éloigner.
Henry le regarda se diriger vers l’arrière du navire, où le capitaine, avec toute la prestance qu’il pouvait se permettre, tenait le gouvernail d’un air peu avenant. Henry observa son visage tandis que Monsieur Bernat lui présentait sa demande. Il parut tout d’abord incrédule, il fronça ses sourcils noirs en grattant son crâne chauve, puis arma son visage d’un sourire qui semblait exagérément cruel. Il dit quelques mots à son second pendant qu’une lueur de mépris gonflait ses yeux sombres.
Monsieur Bernat s’inclina, puis revint vers le jeune homme.
– Le capitaine souhaite que vous aidiez Lon à la cuisine, l’informa-t-il, et il veut que vous lui disiez qu’à partir de maintenant, vous allez prendre vos repas avec le reste de l’équipage.
Le second faisait preuve de réserve, comme à son habitude, mais Henry crut lire dans son regard qu’il était sincèrement désolé pour lui. »
Henry avait soif.
Si vous voulez acheter le livre, vous pouvez le commander à partir de mon site internet, ou encore sur le site de Lulu.com.
Il n’est pas disponible en librairie, mais si vous êtes à Victoriaville, vous pouvez le trouver chez Les marchés délice et création au 212 Boulevard Bois-Francs Nord, ou vous pouvez venir me rencontrer à la Librairie Serpent d’ébène le 6 Avril, où je ferai une petite séance de signature de 12h à 16h.
Après plusieurs mois de travail, j’ai enfin terminé mon Mini Livre Gratuit! Hourra!
(Cette fois, c’est pour de vrai, pas comme le blogue que j’ai posté le 1er Avril…)
Vous pouvez enfin télécharger gratuitement ce petit recueil numérique qui contient les suites de mes histoires «La maison sanglante» et «Opération Corrida», en plus de quelques autres histoires et extraits d’histoires!
N’hésitez pas à le partager avec d’autres gens! Le but de ce Mini Livre Gratuit est d’offrir quelques nouvelles histoires à mes fidèles lecteurs, mais aussi, d’essayer de rejoindre de nouveaux lecteurs en leur montrant des exemples de ce que je peux faire!
Quand vous aurez fini de le lire, vous pouvez commenter ce blogue pour me dire quelle histoire vous avez préféré, et ce que vous pensez de mon Mini Livre Gratuit!