Tu vous tu?

La semaine dernière, il m’est arrivé des choses désagréables…

Mon poisson betta, Cardinal, est mort de manière inattendue, après 2 ans d’heureuse cohabitation. Au moins, j’ai pu m’acheter un autre betta quelques jours plus tard pour ne pas laisser l’aquarium vide et triste.

Après ça, je me suis blessée au pouce droit d’une manière stupide. Depuis ce temps-là, je m’occupe de nettoyer et de désinfecter mon bobo chaque jour, en espérant qu’il va guérir comme du monde, et sans s’infecter. Je porte un bandage, et je ne peux pas vraiment écrire à la main ni dessiner. Au moins, je peux encore taper à l’ordinateur.

Voici mon nouveau colocataire, Gwynplaine le betta! (J’aime donner des noms de personnages de Victor Hugo à mes poissons…)

Tout ça pour dire que ça fait un bout de temps que je veux écrire un autre blogue pour parler de mon nouveau site internet, mais que ça ne s’est pas fait… avant aujourd’hui.

Une seule personne a réussi à trouver le fameux rabais fou caché sur mon site… Il s’agit de Nicole Gauthier, une amie auteure de Victo. Je pense qu’elle et moi, on vit peut-être dans un univers parallèle dans lequel trouver le rabais fou est simple!

Ça vous tente d’essayer d’accéder à cet univers parallèle pour trouver le rabais fou? J’en parle ici.

Aujourd’hui, je voulais vous parler d’un des changements que j’ai faits sur mon site internet… J’ai fait plusieurs changements importants, mais celui-là est visible sur chacune des pages de mon site.

Avant, mon site parlait à ses visiteurs en les vouvoyant.

Maintenant, il les tutoie.

Pourquoi? Eh bien, pour plusieurs raisons…

Quand j’écris quelque chose sur mon blogue, et sur ma page Facebook, je m’adresse aux lecteurs et lectrices et de mon blogue, et aux gens qui me suivent sur Facebook. Je m’adresse à eux, et ils peuvent commenter l’article ou la publication. Quand je dis «vous», ce que je veux dire c’est «vous, là, chers lecteurs et chères lectrices!»

Mais quand une personne visite mon site, elle est probablement seule. Elle peut me contacter à partir de mon site, mais ne peut pas y avoir une discussion avec moi en laissant des commentaires sur les pages.

Même chose quand une personne lit un de mes courriels du C.L.L.E.M.P., le courriel s’adresse seulement à cette personne, qui peut y répondre.

Avant, mon site internet avait l’air de vouvoyer tout le monde, même si ce n’était pas tout à fait mon intention. Je vous avoue que moi, ça me fait bizarre quand on me vouvoie. J’ai beau être officiellement une adulte, quand on me dit «vous, madame Plante», je trouve ça étrange.

Et je me suis dit qu’une personne faisant partie de ce concept abstrait qu’est mon public cible pourrait peut-être penser comme moi, et ne pas se sentir interpellée par le vouvoiement sur mon site.

Donc:

Quand je dis «vous», je m’adresse généralement à plusieurs personnes.

Quand je dis «tu», je m’adresse à toi, de manière plus personnelle.

Ça ne change peut-être pas grand-chose pour vous/toi, mais ça m’a pris de loooongs moments de réflexions pour en arriver à faire ce changement sur mon site!

Ça fait juste partie de mon éternelle quête pour mieux m’exprimer, et éventuellement, dominer le monde grâce à mes mots et mes livres…

Voici mon nouveau site internet!

En fin de semaine, j’ai cuisiné une tarte aux pommes… une tarte sans sucre, mais de manière non intentionnelle.

Et ce n’était pas n’importe quelle tarte: c’était la recette de tarte aux pommes de John Carradine, un acteur qui apparaissait dans le film Le manoir de la peur, dont j’ai parlé récemment dans mon blogue.

Non, l’acteur (qui est mort en 1988) ne m’a pas donné sa recette de tarte pour me remercier d’avoir mentionné son nom dans mon blogue. En fait, j’ai participé à un projet appelé The Vincent Price Co*Star Cookbook, qui demandait à des gens de tester des recettes pour un futur livre de cuisine.

C’est possible d’en apprendre plus sur ce sympathique projet en visitant le blogue Silver Screen Suppers (en anglais).

Donc, pour faire une histoire courte: j’ai testé la recette, et en goûtant à une première pointe de tarte, j’ai trouvé qu’elle était bonne, mais pas très sucrée… Puis, j’ai réalisé que même si la recette mentionnait une tasse de sucre dans la liste des ingrédients, le sucre n’était pas mentionné dans les instructions.

J’ai suivi les instructions à la lettre… et je n’ai pas ajouté de sucre dans ma tarte. J’en ai informé la responsable du projet, qui va corriger ce petit problème pour le livre de recettes!

Miam miam!

Bon, pourquoi est-ce que je vous parle de ma tarte aux pommes, quand le titre de cet article est «Voici mon nouveau site internet!»?

Eh bien, je voulais un prétexte pour vous montrer ma délicieuse tarte, bien sûr… Mais ce n’est pas juste pour ça.

En testant cette recette, j’ai découvert qu’il y avait un petit problème dans les instructions, et ce problème va être corrigé dans le livre final.

Mon nouveau site est déjà en ligne… mais est-ce que ça vous tente de le tester?

En testant mon site internet, vous pourriez m’aider à clarifier des choses qui ne vous semblent pas claires. Vous pourriez aussi m’aider à réparer un lien qui ne fonctionne pas correctement quand on clique dessus.

J’ai travaillé fort pour créer cette nouvelle version de mon site, et j’en suis satisfaite. Mais comme le but de mon site, c’est que je ne sois pas la seule personne à le visiter, j’aimerais ça que mes lecteurs et lectrices de blogue prennent le temps de le regarder, et de me dire s’il y a un ou des problèmes.

Vite! Allez visiter le http://www.myriamplante.com! Il y a même une chasse au trésor… mais pas de pointe de tarte virtuelle, désolée.

Pour rendre l’exploration de mon site un peu plus amusante, j’ai eu l’idée de faire une petite chasse au trésor

C’est simple: visitez mon nouveau site rénové et amélioré au www.myriamplante.com, à partir de votre ordinateur et/ou de votre téléphone ou tablette, et explorez-le. Lisez les textes, cliquez sur les liens pour vérifier s’ils fonctionnent, et avertissez-moi si vous découvrez un problème quelque part.

Mais surtout… cherchez le «rabais fou». Il y a un rabais fou caché quelque part sur mon site, et les personnes qui le trouvent vont pouvoir économiser de l’argent à l’achat de mon prochain livre.

Les détails et les instructions sont sur la page du rabais fou… mais il faut tout d’abord le trouver! (À date, j’ai lancé le défi aux membres du C.L.L.E.M.P., et personne n’a réussi à trouver le rabais…)

Bonne chasse au trésor, et merci de visiter mon nouveau site!

Le film de la semaine: Péché mortel

Le film de la semaine est Péché mortel, que j’ai regardé dans sa version originale sous le titre de Leave Her to Heaven.

Il s’agit d’un film de 1945, que j’avais enregistré sur Silver Screen Classics. C’est un drame psychologique, qui montre encore une fois à quel point ça peut être dangereux d’être écrivain…

En voici le résumé: «Un jeune écrivain réalise graduellement que sa nouvelle épouse est folle de jalousie.»

En lisant le résumé, je trouvais que ça n’avait pas l’air très intéressant… Mais je voulais quand même le voir parce que Vincent Price est dans le film.

Donc, l’écrivain du film, qui porte le magnifique surnom de Dick, remarque une femme qui est en train de lire un de ses romans dans un train. Ça doit être cool, quand même, de voir quelqu’un qu’on ne connait pas lire un de ses livres! Ben, sauf si c’est cette fille-là. Parce qu’elle est folle.

Mais Dick ne le sait pas à ce moment-là, donc il l’aborde, et ils se rendent compte qu’ils vont tous les deux passer quelques jours dans le même ranch. Bien sûr, ils tombent en amour, et Ellen décide qu’ils vont se marier, même si ils se connaissent à peine.

Tout ça se passe pendant les 20 premières minutes du film, pendant que je n’arrêtais pas de me dire, mais où est Vincent Price? Où est-il?

Finalement, on se rend compte que c’est le fiancé d’Ellen, qu’elle vient de domper là pour se fiancer avec Dick à la place. Il vient exprimer sa colère et son indignation pendant environ 5 minutes, et ensuite il disparaît. Alors je me disais, wow, c’était pas son plus grand rôle au cinéma…

Une fois mariés, Dick et Ellen s’installent ensemble dans une maison, et Ellen, même si elle est riche, insiste pour ne pas engager de gouvernante. Elle dit à Dick qu’elle va s’occuper elle-même du ménage et de la cuisine parce qu’elle ne veut pas que quelqu’un d’autre s’occupe de son mari. En fait, elle précise même qu’elle ne veut pas que personne d’autre qu’eux n’entre dans leur maison. Ça commence déjà à aller mal…

Peu de temps après leur mariage, les heureux tourtereaux vont passer du temps au chalet de Dick, en emmenant avec eux Danny, son frère infirme qui est super attachant. La mère et la soeur/cousine d’Ellen, Ruth, viennent aussi au chalet pour lui faire une surprise.

Mais Ellen n’aime pas les surprises, et surtout, elle ne veut pas partager son mari avec personne d’autre. Elle s’arrange donc pour que les invités partent… et comme Danny ne veut pas partir du chalet, elle s’arrange pour qu’il parte… définitivement. Pauvre Danny 😦

Plus ça va, plus on se rend compte à quel point Ellen est jalouse et possessive, jusqu’à en devenir complètement folle… et dangereuse, pour elle-même, et pour tous ceux qui approchent son mari d’un peu trop près.

Quand elle commence à croire (et avec raison) que Dick et Ruth ont des sentiments l’un pour l’autre, elle va même jusqu’à se suicider pour leur nuire…

Et c’est là que le personnage joué par Vincent Price fait un retour triomphant dans le film, en tant qu’avocat agressif qui accuse Dick et Ruth d’avoir conspiré pour tuer la pauvre Ellen.

Finalement, le film était plus intéressant que ce à quoi je m’attendais… et même si ce n’était pas un film d’horreur, dans un sens, il était plus effrayant que bien des films d’horreur que j’ai vus.

Le film de la semaine: Le manoir de la peur

Le film de la semaine est Le manoir de la peur, ou House of the Long Shadows en version originale. Il était d’ailleurs présenté en version originale, avec des sous-titres en français qui, hélas, ne disaient pas toujours la même chose que les dialogues en anglais, ce qui était un peu distrayant.

Le film est paru en 1983, et je l’ai enregistré sur Frissons TV, qui en donnait ce résumé:

«Un écrivain, qui s’est isolé dans un vieux manoir pour écrire un roman, est dérangé par divers intrus.»

Eh oui, encore un film d’écrivain en péril!

J’avais déjà vu ce film, mais ça faisait quelques années, et je ne me souvenais pas de grand-chose.

Le péril dans lequel est placé Kenneth, notre ami écrivain, est cette fois un péril financier: son éditeur juge que ses romans sont trop intellectuels, alors Kenneth lui parie 20 000$ qu’il peut réussir à écrire un roman populaire en moins de 24 heures.

Si quelqu’un me proposait ce pari, même en voulant bien fort, je ne serais jamais capable d’écrire un roman en 24 heures. Je ne suis même pas capable d’en écrire un en 1 an, alors en 24 heures? Ah oui, il y a aussi le fait que je n’ai pas 20 000$ pour payer, au cas où je perdrais le pari.

Mais Kenneth, lui, est un homme plein de courage et d’inspiration, et surtout, qui juge que l’argent est sa seule motivation pour écrire. Donc, son éditeur lui donne la clé d’un vieux manoir abandonné situé au Pays de Galles, là où les noms de lieux sont interminables, et Kenneth s’y rend au milieu de la nuit avec sa machine à écrire, quelques chandelles, parce qu’il n’y a pas d’électricité, un thermos de café, et un sandwich.

Mais, comme le mentionne le résumé du film, alors qu’il commence à écrire, il est dérangé par des intrus, les plus célèbres d’entre eux étant John Carradine, Peter Cushing, Vincent Price, et Christopher Lee.

Bon, pas vraiment eux, mais leurs personnages. Mais c’est clair que si j’avais été enfermée dans un manoir avec ces gens-là, je n’aurais pas été capable de me concentrer sur l’écriture d’un roman.

À mesure que le film avance, Kenneth se questionne. Est-ce que c’est son éditeur qui a engagé ces drôles d’individus pour essayer de lui faire perdre son pari? Sinon, qui sont ces gens, et pourquoi ont-ils tous la clé de ce manoir qui est supposément abandonné depuis plusieurs années?

Le personnage joué par Vincent Price, appelé Lionel Grisbane, était le plus hilarant de tous, selon moi. Car oui, c’était plus une comédie d’horreur qu’un drame d’horreur, malgré ce que disait mon guide horaire.

En entrant dans le manoir poussiéreux et plein de toiles d’araignées, il sort de l’ombre et s’exclame, d’un air dramatique: «I have returned!». Je suis revenu. Et pendant qu’il se met à se plaindre de l’emprise du temps sur les possessions de l’homme, qui se dégradent sans qu’on ne puisse rien y faire, Kenneth lui demande qui il est, et pourquoi il a déclaré être de retour alors qu’en principe il n’avait rien à faire là… Et Lionel lui répond: «S’il vous plaît, ne m’interrompez pas pendant que je monologue!».

C’est hilarant parce que monologuer de manière dramatique, c’est ce que Vincent Price fait au moins une fois dans la plupart de ses films!

Donc tout au long de la soirée, Kenneth tente de comprendre ce que ces gens font dans le manoir, au lieu d’écrire son roman. Il y a des meurtres, des mystères…

… et quelques surprises à la fin, que je ne vous révélerai pas, au cas où vous voyez le film un jour, tsé!

Mais je vous dirai simplement ceci: à la fin du film, Kenneth gagne son pari, mais son expérience l’a tellement changé qu’il finit par déchirer son chèque de 20 000$, ayant compris que le plaisir d’écrire était plus important que l’argent.

Oui, je suis bien d’accord, Kenneth… mais si tu n’en voulais pas, de ton chèque, tu aurais pu me le donner au lieu de le déchirer.

Le film de la semaine: Brrr…

Hier soir, j’ai regardé un film appelé Brrr… en français, et The Uncanny dans sa version originale. Je l’avais enregistré sur Frissons TV, et il est paru en 1977. Il s’agit d’une co-production entre le Canada et le Royaume-Uni, mettant en vedette Peter Cushing, que j’adore.

«Un auteur présente à un éditeur le manuscrit d’un livre tendant à prouver que les chats conspirent pour dominer l’homme.»

http://www.youtube.com/watch?v=8Ek35s7vmm0

En lisant le résumé du film, je me suis tout d’abord dit: Ben oui, tout le monde sait ça que les chats sont diaboliques et qu’ils essaient de dominer le monde!

Et ensuite, je me suis dit que c’était bizarre, un film à moitié canadien avec Peter Cushing dedans. Pourtant, la partie du film dans laquelle il était se déroulait à Montréal, au « présent », c’est-à-dire le présent de 1977.

Je me demande s’il mentionne le tournage de ce film à Montréal dans ses mémoires, que je n’ai pas encore lus… En fait, je me demande aussi s’il est vraiment allé à Montréal. Après tout, on le voit juste marcher dans la rue, puis entrer chez son éditeur… ça pourrait être n’importe où.

Dans le film, donc, Peter Cushing joue le rôle de Wilbur, un auteur légèrement paranoïaque et amateur de soucoupes volantes et de théories du complet, qui sort de chez lui au milieu de la nuit pour aller proposer son nouveau livre à son éditeur.

En 1977, ce n’était pas interdit de sortir de sa maison et d’aller visiter son éditeur au milieu de la nuit. C’était un moment bizarre pour ce genre de visite, sans doute, mais ce n’était pas illégal comme ce le serait aujourd’hui, pendant la Coronapocalypse.

En chemin, Wilbur est terrifié par tous les chats qu’il croise dans la rue, et quand il arrive chez son éditeur, celui-ci a un gros chat blanc, ce qui l’effraie aussi. Il commence alors à expliquer à son éditeur que les chats sont dangereux, et qu’il souhaite publier un livre pour mettre les gens en garde.

Pour prouver ce qu’il avance, il nous présente trois histoires dans lesquelles des chats hystériques, affamés, calculateurs et vengeurs sont en vedette.

Dans la première histoire, qui se passe à Londres, on découvre l’histoire d’une femme mourante qui vit avec 10 000 chats fous, et une domestique. La femme décide de changer son testament pour léguer sa fortune à ses chats plutôt qu’à son neveu. Sa domestique, qui a une liaison avec son neveu, tente de détruire le nouveau testament… mais les chats fous ne la laissent pas faire…

Dans la deuxième histoire, qui se passe au Québec, Lucie, une jeune orpheline, vient habiter avec sa tante, son oncle et sa cousine, en amenant avec elle son chat noir appelé Mon Seigneur. Quand sa cousine bitch lui fait la vie dure, Mon Seigneur incite Lucie à se servir du livre de magie noire de sa défunte mère pour se venger. Elle trace un pentacle sur le plancher, et rétrécit sa cousine jusqu’à ce qu’elle soit de la taille d’une souris.

Les effets spéciaux de la dernière partie de cette histoire faisaient un peu dur, mais ils ont quand même fait un bel effort!

Dans la troisième histoire, qui se passait à Hollywood, un acteur s’arrange pour que sa femme meure sur le plateau de tournage d’un film, pour que sa jeune maîtresse puisse la remplacer en reprenant son rôle. Sa maîtresse, qui est d’ailleurs une actrice épouvantablement mauvaise, remplace aussi sa femme chez lui.

Sa femme, bien sûr, avait un chat. Quand la maîtresse de l’acteur demande comment le chat s’appelle, le gars répond «Ah, je ne sais pas, mais moi, je l’appelle Va-t’en!»

Et Va-t’en le chat, qui était en fait une chatte qui a eu de mignons bébés (que le gars a flushé dans la toilette…) décide, bien sûr, de venger la mort de la femme de l’acteur. Et aussi la mort de ses mignons bébés.

Avec tout ça, Wilbur n’a pas réussi à convaincre son éditeur de publier son livre. Et même, malheureusement, le chat de l’éditeur, en conspirant avec tous les chats du quartier, a réussi à détruire le manuscrit et à faire en sorte que Wilbur ne puisse plus jamais, jamais en écrire un autre.

J’ai trouvé le film divertissant, et c’était drôle de voir les chats sauter sur le monde en poussant des rugissements amplifiés pour les attaquer, ou juste fixer la caméra d’un air menaçant…

Il paraît que le film n’a pas eu un très grand succès à sa sortie. Mais vu que beaucoup de gens, aujourd’hui, trippent sur les chats, peut-être qu’il aurait plus de succès aujourd’hui?

Qui a envie d’écrire un livre?

Comment se passe votre confinement/quarantaine jusqu’à maintenant?

De mon côté, vu que je travaille chez nous et que je suis pas mal toujours toute seule chez nous, ça n’a pas changé grand-chose à ma vie! Bon, il y a le fait que je vais attendre le plus longtemps possible avant de retourner faire l’épicerie… et aussi, ça m’arrive de prendre des pauses d’internet, et surtout de Facebook, parce que je suis tannée d’entendre parler de ce maudit virus-là.

Il y a beaucoup de négatif qui ressort de la situation… mais beaucoup de positif, aussi. Je pense entre autres au mouvement des arcs-en-ciel, mais aussi aux artistes qui font des spectacles live sur Facebook, qui offrent des ressources gratuites, ou qui proposent des rabais sur leurs oeuvres. (Mes livres sont en rabais sur Lulu.com, en passant!)

Moi, j’ai eu l’idée d’écrire un petit guide pour donner des conseils aux gens qui ont envie de se lancer dans l’écriture d’un livre! Que ça soit votre rêve depuis toujours d’écrire un livre… ou que vous soyez juste à cours de choses à faire pour vous divertir tout en restant en sécurité chez vous, mon petit guide pourrait vous être utile.

Bon, il n’est pas encore écrit, mais j’ai commencé à en faire un plan détaillé aujourd’hui, et je devrais commencer à l’écrire dans les prochains jours.

Quand il sera prêt, je vais le mettre en vente, en version numérique, sur Amazon et sur Smashwords.

Mais les gens merveilleux qui font partie du Club des Lecteurs et Lectrices Enthousiastes de Myriam Plante (ça, c’est le nom de ma liste de diffusion) pourront le recevoir gratuitement!

Donc, si vous avez envie de recevoir mon prochain petit livre gratuitement dès qu’il sera prêt, visitez mon site et inscrivez-vous au C.L.L.E.M.P. si ce n’est pas déjà fait!

Au fait… Qu’est-ce que vous pensez de mon nouveau site internet? Il n’est pas encore terminé, mais je trouve que mes rénovations virtuelles avancent bien!

Ça va bien aller.

 

 

Le film de la semaine: Communion

Hier soir, j’ai regardé le film Communion, paru en 1989, que j’avais enregistré sur Frissons TV. C’est encore un film, de science-fiction cette fois, qui met en vedette un écrivain. Ce n’est pas facile, être un écrivain… les films en témoignent.

«Lors d’un séjour à la campagne, un écrivain new-yorkais aperçoit des créatures étranges dont il ne se souvient par la suite qu’en songe.»

En lisant la description du film, je me suis demandée: Pourquoi ça s’appelle Communion? Et pourquoi le gars est un écrivain? S’il se souvient des créatures étranges juste dans ses rêves, ça n’apporte rien à l’histoire qu’il soit écrivain, non?

Le film commence avec un avertissement disant qu’il a été basé sur une histoire vraie vécue par une famille américaine. J’ai vite compris que le film avait été inspiré d’un livre écrit par un homme appelé Whitley Strieber, et que le film racontait son histoire à lui.

Le film raconte donc l’histoire de Whitley, de sa femme et de leur fils. Sans vouloir manquer de respect au véritable Whitley, j’ai trouvé que le personnage dans le film était vraiment antipathique, et il m’énervait avec sa manie de toujours se mettre à rire aux éclats dans les moments les plus inappropriés. Peut-être que le fait qu’il avait la face de Christopher Walken n’aidait pas, car pour moi, cet acteur sera toujours associé au cavalier sans tête du film Sleepy Hollow.

Les «créatures étranges» mentionnées dans la description du film étaient en fait des extraterrestres. Je ne m’attendais pas à ça…

On découvre donc, à mesure que le film avance, que les extraterrestres suivent Whitley depuis son enfance, l’enlevant par moments pour faire, bien sûr, quelques expériences sur lui.

Les dialogues m’ont semblé un peu incohérents par bouts, et je ne sais pas si c’était à cause du doublage en français. En fait, il y a pas mal de choses qui m’ont semblé incohérentes dans le film…

S’il y avait une sorte de sagesse révélatrice à découvrir par rapport à sa relation avec les extraterrestres, j’avoue qu’elle m’a échappée. Quand, par exemple, il dit aux extraterrestres «Vous êtes le rêve, et je suis le rêveur»… Euh, est-ce que tu sous-entends par là qu’ils sont moins réels que toi, ou encore, que c’est toi qui les as créés dans ton imagination? Tu t’es pourtant plaint d’avoir été enlevé par eux, et tu as précisé qu’ils t’avaient sondé le rectum… Les rêves et l’imagination ne font pas ça, d’habitude. En tout cas, pas les miens.

La scène la plus amusante du film, selon moi, est celle où le fils de Whitley, Andrew, a peur parce qu’il trouve une araignée dans sa chambre. Ses parents arrivent, se moquent de lui parce qu’il a peur d’une araignée, et lui assurent qu’elle ne va pas lui faire de mal, et qu’il doit être gentil avec elle. (Au lieu de juste se débarrasser de l’araignée, tsé.) Le pauvre Andrew prend alors un air résigné, et dit, et je cite: «J’vais essayer de dormir à côté d’elle, peut-être qu’elle m’chantera quelque chose.» Il doit être habitué à ce que ses parents fassent et disent des choses bizarres…

Vers la fin du film, justement, Whitley et sa femme ont une discussion sérieuse et détaillée au sujet des extraterrestres… et eu lieu de l’avoir chez eux, dans le confort et l’intimité de leur foyer, ils vont l’avoir dans une galerie d’art, dans laquelle d’autres personnes sont présentes. On les voit même parler, chacun leur tour, chacun devant une immense toile en arrière plan, un peu comme s’ils tournaient un documentaire…

Ça m’a fait me demander si le film avait été commandité par une galerie d’art ou par un artiste, et qu’ils devaient absolument trouver un moyen de montrer ses oeuvres à l’écran.

Il me semble que moi, si je racontais sérieusement à quelqu’un que des extraterrestres m’ont enlevée (ce n’est pas le cas, rassurez-vous), je n’irais pas le faire dans un lieu public.

Mais c’est vrai qu’il a quand même écrit plus qu’un livre sur le sujet, et que ce film existe…

12 vidéoclips qui ont changé ma vie

En ces temps où beaucoup d’entre nous ont besoin d’un peu plus de divertissement que d’habitude, je me demande, en tant qu’artiste et auteure, ce que je peux faire pour aider les gens qui restent confinés chez eux à se sentir moins seuls, à se changer les idées, à moins s’ennuyer, et, peut-être, à avoir un peu moins peur.

Bon, j’ai eu l’idée d’offrir un rabais de 20% sur plusieurs de mes livres jusqu’à ce que la pandémie soit officiellement terminée… Donc, si vous avez envie de découvrir mes livres, c’est un bon moment pour le faire.

Je veux, aussi, essayer de trouver des choses divertissantes, et gratuites, à partager dans mon blogue pendant les jours, et les semaines qui suivront.

Aujourd’hui, je vous présente 12 vidéoclips qui ont changé ma vie!

D’accord, ils n’ont pas changé ma vie d’une manière profonde et solennelle… Mais ils m’ont marquée, sont associés à une période de ma vie en particulier, ou m’ont simplement fait découvrir un nouvel artiste parce qu’ils ont su attirer mon attention.

J’en oublie sûrement quelques-uns qui sont importants… mais j’ai quand même réussi à en réunir 12!

1. Helena par My Chemical Romance

Parce que à peu près tout m’a marquée dans ce vidéoclip, surtout le bout où la fille sort de son cercueil pour danser dans l’allée.

2. All That I’ve Got par The Used

Parce que le concept et les visuels sont vraiment cool… et aussi, bien sûr, parce que le vieux monsieur a une double moustache géante.

3. I Write Sins Not Tragedies par Panic! At The Disco

Parce que le chanteur avait un côté très théâtral, et que c’est bizarre le monde avec des yeux dessinés sur leurs paupières.

4. Followed the Waves par Melissa Auf Der Maur

Parce qu’il y a un voilier pris dans une tempête, et aussi parce qu’elle dégage une attitude puissante et confiante, surtout quand elle lève le manche de sa bass dans les airs. C’est pas grave si elle le fait genre 1000 fois dans le clip.

5. Heart-Shaped Box par Nirvana

Parce que ça avait quelque chose de bizarre et de troublant la première fois que je l’ai vu… C’est comme un cauchemar super coloré.

6. La Plume par Louise Attaque

Parce que même si le genre de petit personnage bouchon est cute, je trouvais le type d’animation un peu effrayant… mais fascinant en même temps.

7. Dragula par Rob Zombie

Parce que le gros robot qui danse en arrière plan ne pouvait pas faire autrement que de devenir un de mes idoles.

8. House of Fire par Alice Cooper

Parce que c’est hilarant… et que ça me donne envie de lever mon poing dans les airs en me pitchant à travers les murs, les planchers et les fenêtres.

9. Métronome par O Linea

Parce que c’est le tout premier vidéoclip dans lequel j’ai fait de la figuration, et que ce fut une expérience mémorable.

10. Keelhauled par Alestorm

Parce que le concept de « pirate metal » était amusant et spécial, et que ça a ravivé mon intérêt pour les pirates et les voiliers.

11. Thrift Shop par Macklemore & Ryan Lewis

Parce que c’est facile pour moi de m’identifier à un gars qui se trouve riche parce qu’il magasine dans une friperie avec 20$ dans ses poches.

12. Rats par Ghost

Parce qu’en le voyant pour la première fois, je me suis dit «Kessé ça?» pour ensuite le regarder encore une fois. Et encore une autre. Et encore une autre…

Si vous avez apprécié ma liste, je vous invite à me partager, dans les commentaires, au moins un vidéoclip qui vous a marqués! 🙂

Résultats de mon Concoursondage

Merci à tous ceux et celles qui ont pris le temps de participer à mon Concoursondage! J’ai fait un petit tirage au sort en mettant tous vos noms dans mon chapeau officiel de tirages, et la gagnante du concours est Julie Leblanc. Bravo! Je l’ai déjà contactée par courriel pour lui demander quel prix elle voulait recevoir.

Il y a donc eu 17 participations, ce qui, pour moi, est énorme. Maintenant, c’est le temps de regarder les réponses que vous m’avez données, et d’essayer de trouver de l’inspiration, des statistiques, une sorte de sagesse magique qui pourrait m’aider à mieux définir de quelle manière je peux trouver et rejoindre mon public cible.

Je vais partager ici quelques points importants ou intéressants qui se dégagent de vos réponses:

-> Selon mon sondage, la moitié de mes lecteurs sont des gens de 56 ans ou plus. C’est quand même amusant quand on considère qu’en voyant mes livres, la plupart des gens prennent pour acquis que ce sont des livres pour enfants… Mais bon, il faut dire aussi que plusieurs des gens qui ont répondu à mon sondage sont des gens de ma famille, c’est-à-dire, ma mère, des oncles, et des tantes.

-> Selon mon sondage, plus de la moitié de mes lecteurs sont en fait des lectrices. Je trouve que ça a du sens.

-> 4 des personnes qui ont répondu à mon sondage vivent à Victoriaville, 3 sont à Montréal, 2 à Chibougamau, et 2 à Sherbrooke. Il y a une personne à Trois-Rivières, une à Laval, une à Gatineau, une à Valleyfield, une à Terrebonne, et une à Sorel-Tracy. Mon public est donc répandu dans quelques coins du Québec!

-> 13 personnes me suivent sur ma page Facebook, 8 sont sur ma liste de diffusion, et 7 suivent mon blogue. Le fait d’être présente à différents endroits sur internet serait donc bénéfique pour moi.

-> Les intérêts partagés par plusieurs des participants au sondage sont: la lecture, la nature, la musique, et l’écriture. Ça tombe bien, moi aussi ça m’intéresse, ces choses-là!

-> Parlant d’écriture, 7 d’entre vous n’avez jamais écrit de livre, mais aimeriez le faire un jour. C’est cool, ça! D’ailleurs, si vous aimeriez avoir quelques conseils, et en savoir plus sur la vie d’une auteure, je vous conseille de suivre le blogue des Trois auteures inconnues. Mes deux collègues et moi, on y partage souvent des trucs qui pourraient vous aider à réaliser votre rêve d’écrire un livre

-> Deux personnes ont nommé David Goudreault comme étant un de leurs auteurs préférés. J’avoue que je n’ai jamais lu ses livres, il faudrait peut-être que j’en lise un un jour! Quand j’ai participé à l’enregistrement d’une émission du Club de Lecture à la TV communautaire de Victoriaville (l’émission devrait être en ligne bientôt!), une des chroniqueuses parlait justement de son livre Ta mort à moi.

-> La plupart des gens préfèrent les livres en papier, et préfèrent les acheter plutôt que les emprunter à la bibliothèque. Ce sont de bonnes nouvelles pour moi! Mes livres sont quand même aussi offerts en format numérique, et j’essaie de les faire apparaître dans les bibliothèques

J’espère que ces quelques statistiques vous ont intéressés!

Les résultats de mon sondage devraient me servir, surtout ceux qui concernent des choses que, selon vous, chaque auteur devrait avoir sur son site internet.

Si vous visitez mon site de temps en temps, vous avez peut-être remarqué qu’il a commencé à changer… J’ai commencé un long processus pour le rendre plus attrayant, plus informatif, et plus adapté à ma réalité. Je ne sais pas combien de temps ça va prendre, mais il devrait continuer à évoluer lentement au cours des prochaines semaines, et peut-être même des prochains mois…

Même si je ne publierai pas de nouveau livre en 2020, il se passe quand même pas mal de choses par ici!

Aidez-moi à voir plus clair!

Si vous suivez mon blogue depuis quelque temps, ou si ça vous arrive de lire une publication qui vous intéresse, juste de temps en temps, je vous demande votre aide!

En tant qu’auteure inconnue, j’ai de la misère à bien définir mon public cible, c’est-à-dire, les gens à qui s’adressent mes livres, et les lecteurs et lectrices que je devrais essayer de rejoindre pour vendre plus de livres.

J’ai donc créé un petit sondage, que j’appelle en fait un Concoursondage, parce qu’il y a un prix à gagner!

Cliquez sur cette image pour remplir mon Concoursondage avant le 7 Mars 2020, et aidez-moi à voir plus clair!

Pour en savoir plus sur ce fameux prix que vous pourriez gagner, et pour répondre à mes quelques questions, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessus.

Ou ici.

Ou encore, ici!

Accéder à mon Concoursondage, c’est simple et facile!

Ce qui risque d’être moins simple et facile, c’est à la fin, quand je vais analyser vos réponses pour essayer d’y trouver des indices, des idées, de l’inspiration, des suggestions, ou encore… de nouvelles questions. Mais je verrai ça rendue là!

Pour l’instant, je vous invite à répondre à mes questions, et je vous remercie de participer à cette étude (non) scientifique.