Votez pour votre histoire préférée!

Avez-vous lu mon recueil Ourse Ardente et 15 autres histoires?

Si oui, ce blogue devrait vous intéresser.

Si non… pourquoi pas? C’est un livre intéressant, les critiques sont unanimes sur ce point-là… Et quand on sait qu’il ne coûte que 1,36$ en version numérique sur Amazon.ca, c’est presque plus cher s’en passer que de l’acheter!

En tout cas… Si vous l’avez lu, je vous invite maintenant à voter pour votre histoire préférée du recueil, celle qui, selon vous, devrait avoir une suite!

J’ai proposé cette idée aux gens inscrits sur ma liste de diffusion, en leur demandant de voter pour une histoire… Comme j’ai reçu très peu de votes, je fais un nouveau petit sondage ici pour en avoir plus!

J’écrirai une suite pour les 2 histoires qui auront reçu le plus de votes, et j’en ferai un petit recueil en version numérique qui sera offert gratuitement sur mon site internet! Dans ce mini recueil, il y aura 4 histoires courtes: les 2 histoires gagnantes, et leur suite. Il y aura peut-être aussi quelques surprises, si je suis inspirée…

Jusqu'à maintenant, l'histoire "La maison sanglante" est la seule qui a reçu plus qu'un seul vote...

Jusqu’à maintenant, l’histoire « La maison sanglante » est la seule qui a reçu plus qu’un seul vote…

Parmi les votes envoyés par les gens inscrits sur ma liste de diffusion, 2 personnes ont voté pour l’histoire La maison sanglante, 1 personne a voté pour Opération Corrida, 1 personne a voté pour Splitch et le sorcier, 1 personne a voté pour Méchant ménage, et… et c’est tout.

Vous avez jusqu’au 30 novembre pour voter! Go! (S’il vous plaît!)

 

J’ai fini! J’ai fini!

Oui oui, j’ai fini!!

J’ai fini d’écrire le tome 2 de mon roman Le Parfum du Vent!

En voici la preuve!

En voici la preuve!

J’ai fini!!

Comme je le mentionnais d’un ton un peu découragé après avoir terminé l’écriture du premier tome, il m’a pris 10 ans à écrire… Juste ça, tsé!

Ce deuxième tome m’a pris, lui, environ 2 ans… Du 14 juillet 2014 au 10 novembre 2016, plus précisément! Ça, c’est de l’amélioration, côté vitesse! Je m’impressionne moi-même.

J’ai eu la bonne idée de me prendre en photo juste avant de commencer l’écriture du livre, et juste après l’avoir terminée. Ça ne sert pas à grand chose, mais c’est amusant de comparer:

Début et Fin!

Début et Fin!

Pour commencer, eh non, je ne suis même pas dans la même pièce! Quand j’ai commencé l’écriture, j’étais en pyjama, et il faisait pas mal moins froid dans l’appartement qu’aujourd’hui. Il s’en est passé, des choses, entre ces deux photos…

Je suis contente d’avoir fini, mais en même temps, ça fait bizarre… Bizarre de dire adieu à des personnages que j’ai «côtoyés» pendant environ 13 ans de ma vie. Bon, peut-être qu’il y aura une suite à l’histoire de mon dragon un jour, mais ce n’est vraiment, vraiment pas prévu.

Pour le moment, je vais continuer ma bande dessinée, et mon autre histoire… Et quand je serai prête à commencer un autre roman, ce sera pour une histoire où les personnages principaux ne volent pas, et où personne ne s’attend à les voir cracher du feu. Une histoire que pour l’instant, j’appelle «L’histoire du bateau», comme pour Le Parfum du Vent que j’ai très longtemps appelé «L’histoire du dragon».

Ah oui, et pour ceux qui se disent «Hourraaa, elle a fini d’écrire son livre! J’en veux 180 000 copies!» eh bien, je suis flattée, mais je dois vous dire d’être patients… J’ai fini d’écrire l’histoire, mais il va maintenant me falloir la taper à l’ordinateur, la relire, la réviser, la corriger… Et il faut aussi, entre autres choses, que je fasse une nouvelle peinture pour mon image de page couverture. Je ne sais pas quand ça va être prêt (probablement quelque part en 2017!) mais le meilleur moyen pour vous de garder un oeil sur ce projet est de continuer à suivre mon blogue, ou de vous inscrire à ma liste de diffusion.

Pour les plus curieux, sachez que j’ai mis quelques indices dans ce blogue, à propos du titre de ce tome 2… Car non, il ne s’appellera pas «Le Parfum du Vent tome 2», il a un titre bien à lui, que j’ai trouvé depuis longtemps mais que j’ai gardé secret jusqu’à maintenant…

Je l’annoncerai officiellement bientôt.

En attendant, je vais célébrer la fin d’une autre étape de ma vie d’auteure en allant manger un restant de pizza!

Événements et gratitude

En fin de semaine passée, j’étais à Sainte-Marie, en Beauce, pour la première édition du Salon Littéraire du Québec qui se déroulait dans cette ville sympathique.

Mes livres n’ont pas été aussi populaires pendant ce Salon que lors du premier Salon à compte d’auteur de Gatineau le 22 octobre dernier, mais encore une fois, j’ai pu rencontrer des auteurs intéressants et passionnés, et des lecteurs prêts à faire de nouvelles découvertes.

Je me dis qu’à chaque Salon auquel je participe, je m’améliore un peu… J’ajoute de nouvelles choses sur ma table, j’ai de meilleures idées, j’essaie de trouver de nouvelles manières de parler de mes livres… Les Salons du livre ne sont jamais bien rentables pour moi, mais peut-être qu’ils le seront un jour. En tout cas, je ne regrette pas mes expériences!

Et si ces Salons-là existent, si moi, et plein d’autres auteurs inconnus, connus, ou plus ou moins connus, on peut se rencontrer, échanger entre nous, et avoir la chance de présenter nos oeuvres à des gens qui adorent les livres… Si tout ça c’est possible, c’est grâce à des gens merveilleux et passionnés qui ont pour but d’aider les auteurs du Québec à se faire connaître.

Merci à Serge Larochelle et à son équipe pour le Salon Littéraire du Québec.

Merci à Ghislain Larocque et à son équipe pour le Salon à compte d’auteur.

Merci à Marie-Claude Guy, Judith Bastien, Sandrine Plante, Karine Dorion et Annie Cantin pour La Pause Littéraire.

Ah oui, et merci à mes parents pour les fois où ils m’ont transportée jusqu’à ces événements auxquels je suis toujours contente de participer!

Mes prochaines sorties avec mes livres se feront en février et en mars 2017… Je les ai prises en note sur ma page Événements!

À la prochaine!

Un peu de succès!

Eh voilà! Le 1er Salon à compte d’auteur de Gatineau est terminé, et je suis de retour chez nous… Maudit, il s’est mis à faire froid pour de vrai pendant que j’étais partie! Au moins, il n’y a pas encore de neige à Victo… mais je sais qu’il y en a eu ailleurs.

Je suis contente d’annoncer qu’au Salon, j’ai vendu assez de livres pour payer ma table (mais pas assez pour payer aussi mon voyage en autobus!) et ça, ça n’arrive pas souvent! Assez de livres, dans ce cas-ci, ça veut dire 6 livres.

Mon uniforme de vendeuse de livres!

Mon uniforme de vendeuse de livres!

Je m’attendais à vendre surtout des copies de mon recueil Ourse Ardente, vu que c’est mon livre le moins cher, mais non, je n’en ai vendu aucune. Les gens s’intéressaient surtout à mon roman Le Parfum du Vent, et encore plus à ma bande dessinée Gontrand le Chevalier, ce qui m’a vraiment surprise!

Le Salon était très bien organisé, j’ai passé une belle journée. Il n’y a pas eu énormément de visiteurs, mais il n’y a pas vraiment eu de temps morts non plus… Un très bel achalandage, je dirais, pour un événement très sympathique.

À cause de circonstances un peu hors de mon contrôle, j'étais une des premières personnes arrivées.

À cause de circonstances un peu hors de mon contrôle, j’étais une des premières personnes arrivées. Genre vers 8h du matin. Pour quelqu’un de non-matinal, c’est pas facile.

Je suis allée à la rencontre de quelques auteurs, et c’est toujours le fun d’en apprendre plus sur eux et sur leurs oeuvres. En tant qu’auteure indépendante qui travaille toute seule chez nous, j’aime me faire rappeler que dans le fond, nous, les gens qui écrivons des livres, nous avons souvent plusieurs choses en commun… Une tête pleine d’histoires et d’idées, des personnages qui s’imposent et qui décident d’eux-mêmes de la place qu’ils veulent prendre dans ce qu’on écrit…

J’ai aussi, bien sûr, fait l’acquisition de quelques nouveaux livres à ajouter à ma pile de livres à lire qui va toujours en augmentant.

Un achat et des échanges...

Un achat et des échanges…

En résumé, il fait froid dans mon appart, je suis contente du déroulement du Salon, j’aime les auteurs, je suis à peu près prête pour le prochain Salon à Sainte-Marie de Beauce les 5 et 6 novembre, et j’ai hâte d’avoir fini ma job de la journée pour pouvoir continuer à travailler sur mes histoires et ma bande dessinée.

Encore un peu de préparation

Dans mon dernier blogue, je parlais du fait que j’allais me préparer des feuilles avec les résumés de mes 3 livres, pour les offrir aux gens lors de salons du livre. Je suis allée les faire imprimer aujourd’hui.

Hier soir, en préparant ces résumés, j’ai eu l’idée de créer aussi de nouveaux signets afin d’annoncer aux gens qu’ils peuvent dès maintenant recevoir un de mes livres en format électronique, gratuitement, en s’inscrivant à ma liste de diffusion.

Pour… inciter les visiteurs du Salon compte d’auteur de Gatineau à prendre un de mes signets (ou peut-être seulement pour les inciter à se demander «Kessé ça?» pendant quelques secondes), j’ai eu l’idée d’ajouter une photo de moi sur les signets. Je me trouvais ben drôle, alors j’ai fait une petite séance photo dans un coin de ma cuisine.

Quelle photogénie incroyable! Quel décor professionnel!

Quelle photogénie incroyable! Quel décor professionnel!

J’ai fait imprimer mes résumés aujourd’hui, et un paquet de signets… Je suis prête pour Gatineau!

Une photo de qualité!

Une photo de qualité!

Enfin, presque prête… La prochaine étape sera de trouver une manière pas trop désagréable de transporter quelques piles de livres dans l’autobus, en plus de mes bagages.

Un peu de préparation

J’ai deux salons du livre qui s’en viennent: un à Gatineau le 22 octobre, et un à Sainte-Marie de Beauce, les 5 et 6 novembre.

J’aime bien participer à ce genre d’événement, rencontrer des auteurs passionnés, découvrir de nouveaux livres, parler à des gens qui aiment la lecture… Je m’y sens à ma place, quand même, et je ne me sens pas exactement à ma place partout.

Par contre, je reviens souvent d’un salon du livre avec une petite (ou une moyenne grosse) déception. Eh oui, j’en ai souvent parlé dans ce blogue: personne ou presque personne n’achète mes livres, mes livres et/ou ma manière de les présenter génèrent plus d’indifférence que d’intérêt, ou encore, les gens semblent prêts à acheter un de mes livres, mais seulement s’ils peuvent l’acheter dans une librairie au lieu de l’acheter là, drette là, directement de moi, pour m’encourager, avoir une dédicace, et payer moins cher, en plus… mais comme mes livres ne sont pas en librairies, alors ben coudonc, tant pis, ils ne les achèteront pas… (J’avoue que celle-là, j’ai de la misère à la comprendre.)

Alors voilà, j’aime les salons du livre et je m’y sens à ma place, mais en même temps, j’ai l’impression que j’y perds mon temps et mon argent, car oui, il faut payer pour s’y inscrire.

«Oui, mais c’est bon pour te faire connaître!» Me faire connaître? Voyons donc… Si les gens passent tout droit devant ma table, même s’ils ont pris une carte d’affaire, un signet ou un feuillet, ils ne vont pas plus s’intéresser à mes oeuvres une fois qu’ils seront de retour chez eux, ou qu’ils se rendront dans une librairie, où il ne trouveront pas mes oeuvres.

Je me suis fait faire un t-shirt sur lequel j’ai écrit «Auteure inconnue», car oui, c’est comme ça que je me sens. Je vais certainement le porter à Gatineau. Ça peut sembler négatif, mais ce n’est pas comme ça que je le vois… Je suis une auteure, et genre plus de 99,99999999% des gens ne me connaissent pas et ne connaissent pas mes livres. Je suis donc une auteure inconnue. Et je vais continuer à participer à des salons du livres, à essayer d’établir des contacts avec des lecteurs, et surtout, à écrire, à créer les meilleurs livres que je peux créer… Jusqu’à ce que je puisse porter un t-shirt «Auteure quand même pas pire connue», ou même un t-shirt «Auteure célèbre», tissé en soie et brodé avec du fil d’or, tsé, rendue là.

Je trouve que c’est un objectif de vie comme un autre, et c’est pas mal le seul qui m’intéresse.

Pour l’instant, je vais me préparer pour les deux salons qui s’en viennent. J’avais fait un sondage dans mon blogue, le 13 juillet, pour demander aux gens ce que je devrais faire pour mes prochains salons du livre. Le temps est donc venu d’essayer les suggestions les plus populaires! Je vais amener la toile que j’ai peinte pour Ourse Ardente avec moi, et je vais préparer des feuilles qui présentent le résumé de chacun de mes livres.

À bientot! (Si vous passez par Gatineau ou Sainte-Marie de Beauce, là…)

Ça a l'air d'un bordel comme un autre, mais il s'agit de l'espace de rangement réservé pour mes livres et mon maériel promotionnel.

Ça a l’air d’un bordel comme un autre, mais il s’agit de l’espace de rangement réservé pour mes livres et mon matériel promotionnel.

Vagues et Voiles

Pendant mon voyage en Nouvelle-Écosse, j’ai passé un peu de temps, en soirée, à travailler sur la suite de Le Parfum du Vent. L’histoire avance bien, la fin approche!

J’aurais peut-être même pu finir l’histoire en Nouvelle-Écosse, ou en tout cas, preeesque la finir… Mais hélas, j’ai passé la plupart de mon temps libre à travailler sur une histoire que je n’ai pas encore commencé à écrire. Une histoire qui n’a même pas encore de nom, et qui me demandera encore beaucoup de recherches avant de pouvoir commencer à exister pour vrai.

C’est l’histoire dont je parle dans mon blogue «Le robinet est ouvert», et ma nouvelle «Vincent et les sirènes» y est reliée.

Se promener sur la plage, chercher des trésors et marcher dans les vagues, ce sont des bonnes activités à faire tout en pensant à toutes sortes de choses… En pensant à des scènes d’histoires, par exemple.

La plage de Hunts Point, où j'ai certainement marché 100 kilomètres en 1semaine.

Une partie de la plage de Hunts Point, où j’ai certainement marché 100 kilomètres en 1 semaine.

Ça aurait été plus utile, tant qu’à avoir autant de temps pour penser, que je me concentre sur une des deux histoires que j’écris déjà, ou sur ma bande dessinée… Mais bon, l’inspiration, ça ne marche pas comme ça.

Ça, c'était à Summerville Beach. J'aime les vagues.

Ça, c’était à Summerville Beach. J’aime les vagues.

Ce n’est pas qu’il est impossible de contrôler les idées d’histoires et de personnages qui me viennent… J’arrive généralement à me donner une idée de départ, et mon imagination fait le reste. Mais parfois, les idées de départ ne fonctionnent pas toutes… Elles n’ont pas toutes la même force, le même pouvoir. Il y a des idées qui crient plus fort que d’autres, et qui veulent être développées maintenant.

L’environnement peut aussi influencer l’inspiration, c’est certain… Marcher au bord de la mer, et voir de magnifiques grands voiliers comme le Bluenose 2, ça aide à se concentrer sur une histoire qui se passera en grande partie sur la mer, sur un bateau.

Les mâts du Bluenose 2, sur lequel je suis montée clandestinement (ou pas) à Lunenberg.

Les mâts du Bluenose 2, sur lequel je suis montée clandestinement (ou pas) à Lunenberg.

Maiiis, ce n’est pas toujours possible, ou je n’ai pas toujours envie, de noter mes idées à mesure qu’elles se développent. Je passerais mon temps à prendre des idées en note, partout, tout le temps.

Donc, ayant eu le temps d’être inspirée par la mer, mais ne voulant pas risquer d’oublier des idées précieuses pour ma future histoire de bateau, je me suis mise à imaginer de quoi ça aurait l’air si cette future histoire qui n’existe pas encore aurait une suite… Ah non, un prologue, plutôt, parce que le tome 2, j’y ai déjà pensé un peu, j’ai pris ça en note quelque part.

Une des voiles du Silva, sur lequel j'ai fait une petite croisière dans le port d'Halifax. Je suis fascinée par les voiles, les mâts et toutes ces cordes, dont je connaîtrai peut-être les noms et les utilités un jour!

Une des voiles du Silva, sur lequel j’ai fait une petite croisière dans le port d’Halifax. Je suis fascinée par les voiles, les mâts et toutes ces cordes, dont je connaîtrai peut-être les noms et les utilités un jour!

J’ai trouvé plein d’inspiration pour le prologue d’une histoire qui n’existe pas encore, et j’ai même, par hasard, développé un personnage qui devait n’être qu’un personnage très secondaire dans l’histoire, au point de lui inventer un nom complet, un caractère, un passé, des rêves, une vie… Et il a fallu que je prenne ça en note. Et rendue là, il va falloir que je lui trouve un plus grand rôle à jouer dans ma future histoire, parce que tsé, il existe maintenant, et je ne peux pas simplement l’abandonner.

Conclusion: je pense que ma méthode de travail n’est pas très efficace. Mais attendez un peu que je l’écrive, cette future histoire-là! Et sa suite, et son prologue, et une série toute entière, pourquoi pas… Ça va être vraiment cool!

Peut-être.

Mes futurs Salons

Le salon de mon appartement n’est pas encore tout à fait fonctionnel et visuellement attrayant, mais ça s’en vient bien. C’est long, se réinstaller chez soi, quand il faut aussi travailler, et écrire, et faire un voyage en Nouvelle-Écosse…

Cet automne, je participerai à deux salons du livre. Le premier est le 1er Salon à compte d’auteur de Gatineau, le 22 octobre. Ce sera la première fois que je participerai à un salon du livre avec 3 livres au lieu d’un seul!

C’est un salon pour les auteurs qui, comme moi, ont choisi de publier leurs livres par leurs propres moyens… J’ai hâte d’y être!

salon-compte-dauteurLe deuxième salon sera le Salon littéraire du Québec, à Sainte-Marie de Beauce, le 5 et 6 novembre. Ma fête est le 4 novembre, donc ça me ferait vraiment un beau cadeau de fête d’arriver à vendre plus qu’un seul livre cette fois, comme ce fut le cas à ma première participation au Salon littéraire du Québec à Québec!

salon-litteraireEt voilà, mes deux futurs salons! Il y aura plein d’auteurs passionnés, plein de belles découvertes à faire, et il y aura moi, avec mes livres, et l’espoir de rejoindre au moins quelques personnes avec mes mots et mes histoires…

Ça faisait longtemps

Au début du mois d’août, je suis enfin retournée dans mon appartement. Je n’ai pas encore fini de tout placer à mon goût, ma chambre est encore en bordel (bon, ok, c’est un peu son état habituel) et mon nouveau bureau aussi.

Avec tout ça, je n’ai pas passé beaucoup de temps à écrire. J’étais trop occupée, il fallait que je travaille, que je défasse des boîtes, que je déplace des choses d’une pièce à une autre, que je nettoie des choses, que je tue des araignées énormes… ah pis, rendu là il est tard et je suis fatiguée, alors je vais écouter un film… Pas le temps d’écrire. Pas le temps, ou ça me tente pas, ou les deux… Pis mon bureau est en bordel, c’est pas motivant. Pas le temps.

C’est vrai que je n’ai pas eu beaucoup de temps, mais c’était sûrement un peu causé par le retour en force de la Résistance

Ce soir, j’ai pris le temps. Environ 30 minutes, un peu moins…

Et ça a fait du bien. Ça m’a rappelé à quel point j’aime ça, à quel point c’est important. Ça m’a rappelé que quand j’écris, il y a une histoire qui se déroule dans ma tête, des mots qui apparaissent, que je peux déplacer, changer, ajouter, enlever. Des mots qui veulent dire quelque chose… juste pour moi, pour l’instant.

Mais un jour, le tome 2 de Le Parfum du Vent sera fini, et peut-être que vous le lirez, et peut-être que mes mots voudront dire quelque chose pour vous aussi.

Ah et, si vous vous demandez… C’est ma mère qui a gagné mon concours du 12 août et qui a eu une copie de mon recueil Ourse Ardente… Elle a été la seule à participer.

Le 12 août, j’achète un livre québécois

Avez-vous déjà entendu parler de l’événement «Le 12 août, j’achète un livre québécois»?

Vous pouvez le découvrir sur Facebook en cliquant ici.

Cette année, en plus de participer à l’événement en achetant un ou deux livres québécois, j’ai décidé de faire un petit concours pour permettre à une personne chanceuse de gagner une copie de mon recueil d’histoires courtes Ourse Ardente et 15 autres histoires!

Pour savoir comment participer, visitez mon site internet et inscrivez-vous à ma liste de diffusion (si ce n’est pas déjà fait!)

Le 11 août, j’enverrai un courriel à tous les gens inscrits sur ma liste pour leur donner des instructions pour participer au concours, puis je ferai un tirage au sort. Le gagnant ou la gagnante recevra son livre par la poste.

Le 12 août, en plus d’acheter un livre québécois… vous pourriez en gagner un!